"Three days after the opening of the campaign, while reconnoitering the defile of Poserna-Rippach, Bessières was killed by a cannonball which ricocheted off a wall and hit him in the chest. He died instantly."
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"En 1813, lorsque débute la campagne de Saxe, l’Empereur lui confie toute la cavalerie de l’armée. Mais le 1er mai 1813, à la veille de la bataille de Lützen, à Rippach tandis qu’il dirige une attaque près de Weißenfels, un premier boulet emporte la tête de son ordonnance — un chevau-léger lancier polonais —, puis un second boulet lui fracasse la main et transperce la poitrine. Pressentiment funeste ? Au matin du 1er mai, le maréchal avait brûlé les lettres de sa femme qu'il avait, jusque-là, conservées pieusement et ayant consenti, devant l'insistance de ses officiers, à prendre à contre-cœur une légère collation, il avait alors dit : « Au fait, si un boulet doit m'enlever ce matin, je ne veux pas qu'il me prenne à jeun ». Le boulet l'emporta à 12 h 55. Napoléon, pour qui la mort de Bessières est une perte immense, dira : « Bessières a vécu comme Bayard et il est mort comme Turenne. ». L'Empereur dira également à son sujet : « Si j'avais eu Bessières à Waterloo, ma Garde aurait décidé de la victoire. »"
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