General Joseph-François Fririon, Considérations générales sur l’infanterie française, par un officier général en retraite, Strasbourg, 1822, p. 47 (cited in Jean Colin, La tactique et la discipline dans les Armées de la Revolution, Paris, 1902, p. xix):

Le premier rang doit mettre genou à terre : eh bien ! je ne l'ai pas vu faire une seule fois ... Le premier rang tire debout ...

General Antoine-François Brenier, “A Messeurs les Rédacteurs du Spectateur Militaire.” // Le Spectateur Militaire, t. 2, 1827, p. 469:

depuis nos dernières guerres, il est rare qu’on exécute, à la guerre, des feux de peloton ou de division, et encore moins des feux de demi-bataillon et de bataillon ; je dis plus : ces feux, qui certainement seraient utiles en plusieurs circonstances, n’étaient pas commandés afin n’être pas dans le cas de forcer le premier rang à mettre genou à terre, parce que ce movement est tout-à-fait hors des habitudes naturelles des soldats français.

Marshal Laurent de Gouvion Saint-Cyr, Mémoires sur les campagnes des armees du Rhin et de Rhin-et-Moselle, de 1792 jusqu’a la paix de Campo-Formio, Paris, 1829, t. 1, p. xliv:

à la guerre les soldats tirent comme ils se trouvent, sans passer leurs fusils à leurs camarades, et sans mettre genou en terre.