"Si l'histoire parle un jour de ces atrocités, qu'elle n'omette pas de rapporter, qu'il ne restait à l'armée de Portugal, commandée par le prince d'Essling, que ce seul et dernier moyen pour ne succomber élans les angoisses du besoin." - pp. 128-129
A note, nevertheless, to ask what 'need' was there to keep Portuguese girls as slaves, waging them on card games and trading them... Perhaps different degrees of necessity, I would gather.
Jorge